Un Voyage à Atlanta Ch. 08

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Cette histoire se passe dans un monde imaginaire où l’esclavage a été légalisé par certains pays dont les USA. Nous nous sommes très largement inspirés de l’univers inventé par John_Doe_Stories et utilisé également par Carl_Bradford sur Literotica en langue Anglaise.

Chaque histoire est indépendante, les personnages secondaires se retrouvent d’une histoire sur l’autre.

Ont déjà été publiées :

*Un centre Pour Roux

*L’esclave Mystère

Emmanuelle et moi avons mixé nos différents points de vue.

Ceci est une fiction, écrite en tant que divertissement. Cela n’a pas pour but de faire l’apologie de l’esclavage, Il y a des scènes de violence, de relations sexuelles forcées, de manipulation qui n’ont pas leur place dans la vraie vie.

Si ce genre de chose n’est pas votre goût, je vous déconseille de poursuivre votre lecture.

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Je ne parvenais pas à m’endormir, allongée sur le petit lit. Mécaniquement, ma main se glissait entre mes cuisses, mais au lieu d’y trouver ma peau légèrement humide, ou ma fente accueillante, elle ne trouva que l’inox froid de la ceinture de chasteté. Et alors que je savais bien que rien n’était possible, je ne pouvais m’empêcher de glisser plus loin, plus bas sur la surface lisse de la couche métallique qui protégeait mon bouton de toute tentative de le stimuler. Et quand dans un soupir de frustration j’arrivais à retirer mes mains, je les rabâtais sur ma poitrine. À nouveau, je tenais un bloc métallique qui isolait mes tétons. J’avais besoin de me stimuler pour m’endormir, mais ces dispositifs de chasteté étaient d’une efficacité redoutable. Dans la pénombre, je voyais Michel dans la cellule en face de la mienne. Il semblait dormir. J’étais un peu jalouse, lui avait l’habitude de dormir avec une cage!

Tout avait commencé peu de temps avant, quand Laurence s’était blessée en TP alors qu’elle devait partir aux États-Unis pour le jumelage de notre université avec celle de l’université de Géorgie. Laurence indisponible, c’est à moi qu’on a demandé de partir pour Atlanta. J’étais accompagnée de Tom, un Américain détestable, que j’ai détesté pendant tout notre trajet. Il faut dire qu’il me faisait l’article de l’esclavage, alors que son rôle était de me protéger. À mon arrivée à Atlanta, Macha Ni Dioman chez qui je devais loger m’avait prise en charge. Elle aussi voulait me convaincre de bien-fondé de l’esclavage. Utilisant son expérience de manipulatrice d’esclave, elle m’avait fait visiter le Slave Cock’n’Cunt Market : le marché aux esclaves d’Atlanta. J’étais choquée de voir la déshumanisation des esclaves que l’on allait jusqu’à marquer comme du bétail. Mais les choses ont commencé à changer quand j’ai découvert que Macha était esclave à mi-temps. Manipulatrice d’esclaves le jour, et esclave elle-même la nuit.

Son mari m’a montré comment corriger une esclave. Le lendemain, à l’université, Tom m’a fait visiter le chenil ou l’université qui logeaient ses esclaves ou ceux de ses élèves. Là encore, j’étais étonnée de ce que je voyais. Au moment où Laurence m’annonçait qu’en fait elle n’était pas si sévèrement blessée, je pensais à me faire évaluer. Tom, comme Macha et son mari avant lui, me mit en garde contre le contrat standard d’évaluation. Une clause permettait à la personne responsable de l’évaluation de prendre possession de la personne évaluée. Tom m’indiquait alors quel chapitre rayer. Mais au moment où je commençais à avoir confiance en lui, il m’expliqua que ne pas rayer ce chapitre rendait l’expérience plus intense. Là, je me demandais s’il ne voulait pas me piéger. Mais l’idée me plaisait. Je voulais en profiter pour piéger Laurence. Nous allions donc nous évaluer l’une l’autre.

C’est comme ça que je me suis retrouvée nue, tenue en laisse par Laurence dans les rues d’Atlanta, le temps de rejoindre le SCCM. Cette seconde visite me conduisit en bas, avec les esclaves, plutôt qu’en haut quand j’y avais été avec Macha. Mais Laurence avait la même idée que moi : me faire croire qu’elle allait profiter de la fameuse clause. Elle me fit passer une nuit au SCCM, et le lendemain, je fus rejointe par mon mari. Mais une fois évalués, nous fûmes embarqués par camion dans un centre d’éducation servile : le SUBMIT. Michel, mon époux, et moi-même y expérimentions une première punition avant de nous retrouver en cellule avec un ensemble de chasteté complet.

— Emmanuelle, tu vas t’occuper de Sylvia, » cria Jessica en ouvrant la porte de ma cellule. Je sursautais de peur, et je me mettais à genoux comme je le pouvais, pour finalement dire « oui, Maîtresse ».

Je me levais et je rejoignais Sylvia dans l’unique autre cellule ouverte. Je supposais qu’il s’agissait de l’esclave qui suçait Andy quand nous sommes arrivés.

— Sylvia? »

— Oui, Emmanuelle? »

— Oui, tu sais où je dois t’emmener? »

— Oui, » dit Sylvia en baissant la trabzon escort tête. J’étais surpris qu’elle ne détaille pas plus, mais je comprenais que je devais l’accompagner vers quelque chose de peu agréable. Pour autant, être punie devait être pire, et Sylvia me guida vers une salle. Il y avait là un objet que je ne connaissais pas encore ; un Sybian. Cet objet ressemblait à un demi-cylindre horizontal. Au milieu dépassait un organe assimilable à un petit pénis posé sur une plaque caoutchouteuse avec des petits picots. Je compris tout de suite que cette plaque devait vibrer quand une femme chevauchait l’objet. Le pénis dans son vagin, les picots reposeraient sur son mont de Vénus et son clitoris.

Sylvia m’expliqua comment lui attacher les bras, poignet contre le coude opposé. Elle me montra alors la boîte, marquée à son prénom, où se trouvait la clé de sa ceinture. Ceinture que je lui ai alors retirée. Elle est alors allée s’installer sur le Sybian. Elle avait les larmes aux yeux. Elle m’indiqua alors comme attacher ses chevilles à ses cuisses. Une fois que j’avais fini, Sylvia ne pouvait s’échapper du Sybian.

— Parfait. Tu montes la puissance à 8 sur 10, puis tu attends qu’elle jouisse. Tu descends à 2 pendant 3 min, avant de remonter à 8. Elle doit avoir 5 orgasmes, » m’expliqua Jessica, avant de nous quitter.

— 5 orgasmes à la suite? » demandais-je.

— Oui, c’est insupportable » murmura Sylvia en pleurnichant. Je montais l’intensité des vibrations. L’effet sur les cris et gémissements de Sylvia semblait assez proportionnel à cette intensité. Elle qui pleurnichait quelques secondes avant semblait bien prendre son pied maintenant. Je l’enviais, moi qui étais enfermé dans ma ceinture. C’était pour moi que c’était insupportable!

Je l’observais remuer sur le demi-cylindre sur lequel elle était assise, un objet phallique solidement enfoncé dans son sexe. Ses jambes attachées repliées ne lui permettaient pas de bouger beaucoup. Et globalement, elle accompagnait un mouvement, efficace, mais certainement monotone. Je me demandais ce qu’elle cherchait à faire. Se lever et redescendre pour faire un mouvement de vas-et-viens, ou appuyer la plaque plus fort sur son clitoris. Ma respiration s’accélérait à force de l’entendre monter en excitation vers son orgasme. Moi, je montais en frustration. Je serrais les cuisses, mais même ça, la ceinture ne le permettait pas : la partie entre mes cuisses limitait la pression que je pouvais créer entre mes lèvres. Évidemment, j’eus du mal à retenir un doigt, mais encore une fois, il ne trouva que l’acier de la ceinture.

Enfin, Sylvia atteint l’orgasme en criant. Je baissais les vibrations à 2. Sylvia avait du mal à respirer, et elle essayait de se relever, de minimiser le contact entre son clitoris et la plaque. Mais en équilibre sur les genoux, elle avait tendance à retomber. Je la regardais chercher à éviter la stimulation.

Ces cris comportaient des ‘non’ quand elle retombait sur la machine. C’était une première pour moi, même si je connaissais cette sensation où la stimulation du clitoris est désagréable après une relation. Là nous en étions exactement là. Je réalisais alors le sadisme de Jessica. Me faire conduire, à moi privée de sexe, ce supplice de gavage de sexe d’une autre esclave.

Sans connaître ce qu’elle ressentait, je ne pouvais m’empêcher de l’envier. D’avoir envie d’être à sa place et se sentir ce sexe mécanique vibrant. Je sentais ma vulve s’ouvrir, sans rien ne pouvoir capturer. Mon lubrifiant naturel s’écoulait sur mes cuisses. Et Sylvia? M’enviait-elle?

Les 3 minutes étant passées, je remontais l’intensité des vibrations. Et comme la première fois Sylvia se relevait, et bougeait plus. Mais là, je voyais que c’était pour échapper à la machine, au début tout au moins. Il y a un moment où son comportement changeait. Où elle cessait de lutter contre, et l’orgasme, qu’elle cherchait à éviter, lui devenait indispensable. Elle jouait alors avec la machine.

J’essayais d’imaginer ce qu’elle pouvait ressentir à cet instant où elle changeait d’avis. Ce sentiment d’impuissance à agir sur ce qui lui arrivait.

Pour la seconde fois, elle jouit. Elle était un peu fatiguée de cette seconde jouissance. Je baissais l’intensité à 2. Mais là, je compris que 2, c’était encore beaucoup. Je voulais lui voler un orgasme, un sur les 5. Mon Dieu, elle était déjà fatiguée à deux orgasmes consécutifs. J’essayais d’imaginer son état après 3 de plus!

Allais-je moi aussi expérimenter ça. Une partie de moi le redoutait, mais globalement, j’étais plutôt dans le manque, et l’abondance me faisait envie. Tout en me doutant que je pleurerais une fois à la place de Sylvia.

Je regrettais de ne pas avoir de quoi noter, mais il me semblait que le moment où elle changeait d’avis arrivait plus tard. Et je me demandais si au 5e orgasme elle jouirait avant d’avoir changé d’avis. Mais finalement, elle tunceli escort arriva à ce troisième orgasme, proche de l’épuisement total.

Évidemment, je rebaissais l’intensité pour trois minutes. Là, Sylvia pleurait. Mais je laissais l’intensité sur 2, comme demandé. La volonté d’éviter les vibrations était plus forte que les autres fois, mais la fatigue luttait contre elle. Quand je remontais l’intensité, sa montée vers l’orgasme fut laborieuse. Le moment où elle accepta l’orgasme fut très tardif, et son orgasme lui-même fut terne.

Sylvia avait du mal à tenir sur la machine. Elle me fit pitié. Je coupais quasiment les vibrations pendant 5 minutes avant de remonter graduellement. Il me semblait que cette ‘pause’ lui avait fait du bien. Mais nous étions dans la torture. Je ne savais pas pourquoi Jessica avait décidé cela, mais j’avais de la compassion pour Sylvia.

— Vous n’avez pas encore fini, » protesta Jessica, alors que Sylvia allait atteindre son cinquième et dernier orgasme.

— Euh, nous sommes sur la fin… Maîtresse » répondis-je manquant de peu d’oublier la marque de respect envers Jessica. Mais elle retourna un cadre, et là apparut la courbe des intensités.

— Tu n’as pas suivi la consigne, » me dit Jessica.

— Je, Je… Elle n’en pouvait plus… » me justifiais-je.

— Quatre, pour la désobéissance, un pour avoir oublié maîtresse, un pour avoir cru que je ne m’en rendrais pas compte, un pour avoir estimé que tu pouvais adapter mes ordres. Tu verras, c’est impressionnant comme on retient vite avec des coups de cannes. Quant à Sylvia, un de ces orgasmes ne compte pas, à cause de toi, elle va devoir en faire un sixième, » dit lentement Jessica.

— Elle… Elle n’en peut plus, Maîtresse, » dis-je, par un réflexe idiot.

— Un de plus, pour avoir argumenté. On est à 8. À ta place je m’arrêterais là, » me dit-elle avec se sourire à faire peur.

— Bien maîtresse, » dis-je.

— Fondamentalement, avec Sylvia, il faudrait reprendre à zéro, tu as gâché toute l’expérience. »

— Oh, non, Maîtresse, » réagis-je.

— On passe à 9, tu vas avoir du mal à dormir ce soir, » rit Jessica.

Sylvia eut beaucoup de mal à atteindre ce sixième orgasme, et en la libérant, Jessica lui expliqua bien que c’était ma faute. Je ne savais pas quoi faire, sinon aider Jessica a reconduire Sylvia dans sa cellule. J’avais un peu peur de passer de 9 à 10. Certes, c’était un nombre ‘rond’, mais je n’en avais pas très envie. En fait, j’étais même catastrophée de savoir que j’allais devoir recevoir 9 coups de canne. J’angoissais déjà de savoir quand, sans oser le demander de peur d’en avoir un de plus.

— Andy, je crois que Sylvia ne sera en état de s’occuper de toi cet après-midi, tu vas essayer Emmanuelle? » dit Jessica, après avoir fermé la cellule de Sylvia. Elle me fit signe de venir.

Au fond du couloir, il y avait deux petites chambres. Andy occupait l’une, et Jessica l’autre.

Michel était assis sur le lit de cette dernière, et il portait un god-ceinture, sur sa ceinture de chasteté. Je le regardais, puis je regardais Jessica.

— OK, dit Andy, on mange avant? »

— Oui, je crois. Michel est à 3 et Emmanuelle à 9. » dit Jessica.

— Bien pour un premier jour Emmanuelle, » commenta Andy. Il avait vraiment l’air de me féliciter.

— Merci Maître, » dis-je plus par réflexe qu’autre chose.

— J’adore donner les coups de canne, » me répondit-il. J’en restais sans voix.

— Michel s’occupera des orgasmes de Sylvia cet après-midi, » dit Jessica.

— Il a intérêt à suivre les consignes s’il ne veut pas rattraper Emmanuelle, » rit Andy.

L’après-midi, je me trouvais à genoux devant Andy, qui lui était nu.

— Tu vas me sucer… mais les règles du jeu sont simples. Si tu perds le contact avec ma queue avant que je dise stop c’est 1 coup de canne, à chaque fois. Si tu me fais jouir avant que je le dise, un coup. Si tu n’y arrives pas quand je le demande… un coup. Quand j’éjacule, tu recueilles le sperme sur ta langue et tu me le montres… et tu avales sur ordre. Sinon, un coup. C’est facile, non? »

— Oui, Maître » dis-je en me demandant comment j’allais m’en sortir.

Je me précipitais sur le sexe d’Andy. Il était plutôt généreux, et dans ma ceinture, j’avais envie de toucher un sexe même juste du bout de la langue.

— Hey, arrête… » me dit-il. Je me redressais pour le regarder.

— Tu as rompu le contact avec mon sexe? » me dit-il.

— Mais vous m’avez… » commençais-je

— Tu discutes? Je n’ai pas dit stop. C’est 1, et estime-toi heureuse de ne pas être à 2. Et pars plus lentement, j’aime que ça dure 1heure…ou 2… » dit-il en souriant.

Je me remettais à la tâche. Sucer est une chose, le faire pendant longtemps en est une autre. J’avais recommencé sur un rythme lent. Mais trop rapidement j’avais mal aux muscles de la mâchoire à garder la bouche suffisamment uşak escort ouverte pour avoir son sexe en bouche. Je cherchais dans la pièce une pendule, ou un objet qui me permettrait d’avoir une idée de temps passé. En tout cas, j’avais déjà donnée des fellations, mais jamais je ne m’étais trouvé dans cette situation, et quand finalement je fis une pause, pour fermer la bouche et relâcher mes muscles un instant.

— Un en plus » dit-il seulement. Je tremblais à l’idée des 11 coups de cannes. Pas seulement 11… car manifestement Any allait lui aussi me distribuer des mauvais points.

Je le repris en bouche, sur un rythme plus rapide. Et tout d’un coup je réalisais qu’il allait jouir, avant qu’il ne m’ait donné l’ordre d’aller jusqu’à l’orgasme. Je tâchais de ralentir, mais pas trop, de peur de perdre le contact. En fait j’étais terrorisée, et finalement je me suis laissée surprendre par son éjaculation. Ce qui m’a valu 1 point pour avoir perdu le contact, 1 pour l’avoir fait jour avant le bon moment, et enfin 1 pour ne pas avoir gardé son sperme sur ma langue.

J’étais affolée de me trouver à 14 coups de canne.

Comme moi Michel avait voulu soulager Sylvia. Il était à 12 coups.

Le soir Andy nous fit nous placer face à face, en position de levrette, mais avec nos ceintures.

— Je m’occupe de vous corriger. Vous allez vous soutenir, en vous embrassant, et en léchant vos larmes. Vous pensez bien à remercier votre maître qui prend le temps et le soin de vous corriger. »

Je trouvais cela ignoble, mais que pouvais-je y faire?

— Emmanuelle, je vais commencer par toi, mais ne soit pas tendue comme ça. En temps qu’esclave tu dois apprendre à encaisser ça. » me dit-il. Je n’osais répondre. Il fit siffler sa canne, frappa deux fois sa main, et donna un coup dont le bruit me marqua. La douleur cinglante apparu un instant après en travers de mon fessier. Je hurlais. Michel m’embrassa. Andy marchait et passa en face de moi, dans le dos de Michel que je sentis se tendre.

— Merci » murmura se dernier.

— Un, Merci, Maître » dis-je mortifiée alors que les larmes coulaient sur mes joues. Michel lécha ces larmes. Mais il s’arrêta d’un coup quand Andy fit siffler sa canne. Je le voyais avec son sourire carnassier. Il se réjouissait de nous faire anticiper la douleur. Comme pour moi, il frappa sa main eux fois, et balança un coup nonchalamment sur les fesses offertes de Michel. Comme moi, il lui fallut un instant pour réagir et crier. Andy resta à contempler son œuvre. J’embrassais Michel, puis je léchais ses larmes. Je trouvais quelque chose de terriblement sensuel à ceci. Mais Andy se mis à tourner. Je paniquais, ça allait être mon tour à nouveau. Puis je réalisais que Michel n’avais pas remercié Andy.

— Merci murmurais-je.

— Un, Merci, Maître » dit-Michel d’une voix enrouée. Je serrais les fesses en anticipation. Il fit siffler la canne, frappa dans sa main, puis balança un coup. J’avais du mal à me dire plus que 12…

Andy marchait d’un pas lent. Après m’avoir frappée, il entrait dans mon regard. Michel trompait sa peur en m’embrassant. Il allait me rappeler à l’ordre.

— Deux, merci, Maître » dit-je. Andy sourit comme pour se moquer de moi. Comme à chaque fois, il fit siffler sa canne. Michel se tendit. Il tapa sa main. Michel anticipait le coup. Mais comme le coup de venait pas, il se relâcha. Andy frappa. Michel cria. Comme c’était simple.

— Deux, merci, Maître » finit par dire Michel. Andy tourna. Je n’arrivais pas à ne pas me tendre. Quand il fit siffler la canne je ne pus que me tendre plus encore. Et puis, je finis par me détendre… ce qui provoqua le coup.

— Trois., merci, Maître » dit-je, et Andy tournait encore.

Je comprenais la méthode de Maître Andy qui consistait à nous laisser nous détendre avant de frapper. Petit à petit je réalisais que la veille Jessica et Andy avaient enchainé les coups plutôt rapidement. Leur but était sans doute que nous ne les remercions pas assez vite. Et nous avions appris qu’un coup non remercié ne comptait pas. Cette leçon était apprise, et notre détermination à remercier ce soir le montrait. Ce soir, nous allions vivre un marathon

— Six., merci, Maître »

Les coups tombaient lentement, les uns après les autres, sans faiblir. Chaque coup était une douleur vive, mais après il laissait une brûlure, dont l’aire s’accroissait à chaque coup. Mais m’occuper de Michel, et remercier occupait toute ma capacité de d’analyse mentale.

— Neuf, merci, Maître »

Alors que nous approchions des dix coups, il me semblait changer de perspective. Avant j’étais passive, et je subissais les coups. Là il me semblait devenir spectatrice. Comme si je sortais de mon corps et que j’assistais à la scène plutôt que de la subir, et le souvenir que j’en ai reste flou.

— Douze, merci, Maître »

— Treize, merci, Maître »

— Quatorze, merci, Maître »

Je me souviens de m’être retrouvée allongée sur le lit de ma cellule, Andy me massant les fesses, ou plus exactement la purée qui me servait de fesses.

— C’est bien Emmanuelle. Tu as bien pris ta correction. » me dit-il avant que je sombre dans un sommeil profond proche de ceux que j’ai après un orgasme.

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